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Serenity

1 septembre 2012

Cuirassé de la classe Iowa

470px_BB61_USS_Iowa_BB61_broadside_USNCes cuirassés de 270 mètres de long et d'un tonnage de 58000 tonnes ont servi pendant la deuxième guerre mondiale dans le pacifique. D'une puissance de 212000 cv, ils étaient capables de naviguer à la vitesse de 33 nœuds.

Quatre unités ont été construites : l'Iowa, le New Jersey, le Missouri (que l'on peut voir dans les films "Piège en haute mer" et "Battleship") et le Wisconsin.
Ils étaient équipés de 3 tourelles comportant 3 canons de 406 mm. La puissance de feu de ces canons était telle qu'il était impossible de tirer dans l'axe du navire car l'onde de choc du projectile risquait d'endommager la proue ou la poupe. Lors des tirs de bord avec les tourelles de 406 mm, le cuirassé se délaçait de plusieurs mètres sur l'eau du coté opposé.

Plusieurs types de munitions pouvaient être tirés. Le magasin à munitions contenait 1 200 coups. Les munitions Mk 8 APC d'un poids de 1200 kg avaient une porté de 39 km. A 18 km ils pouvaient percer une épaisseur de blindage de 50 cm ou 6,4 m de béton armé.

Ces navires ont été utilisés lors des principaux conflits de la deuxième moitié de 20e siècle (Corée, Vietnam...). Le Missouri a notamment servi pendant la première guerre du golf ou son artillerie fut utilisé contre l'Iraq. Les 4 navires construits sont aujourd'hui des navires musées.

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6 février 2012

La télévision 3D

Le principe de base de la 3D est toujours le même, les séquences sont filmées à l'aide d'une caméra à double objectif espacé de 7 centimètres, ce qui correspond à l'espacement moyen entre l'œil droit et l'œil gauche. La différence entre les principales technologies se situe au niveau de la méthode de diffusion.
Plusieurs solutions existent pour diffuser de la 3D : L'anaglyphe qui était jusqu'à présent exploitée en analogique utilisait un filtre rouge et bleu (les lunettes) pour dissocier les images droite et gauche en fonction de leur couleur afin que chaque œil ne voit qu'une seule des deux images, le cerveau se chargeant du reste. Elle n'a jamais convaincu, car elle a tendance à dénaturer les couleurs et à donner des nausées aux spectateurs.

Lunette_3D

Ensuite on trouve le système numérique actuellement exploité dans certaines salles 3D qui lui diffuse les deux images simultanément : une sur les lignes paires et l'autre sur les lignes impaires. La définition s'en trouve  divisée par deux. Ce n'est pas un problème au cinéma, car la diffusion est en très haute résolution ("4K" 2160 lignes). Cependant sur un écran HD de 1080 lignes on se retrouve avec une définition de 540 lignes par image. On sort donc du cadre de la HD. Malgré cet inconvénient, LG commercialise des téléviseurs 3D Passif de ce type au rendu très correct.
Ce procédé utilise lui aussi des lunettes, dites "passives à filtres polarisants", dans ce cas l'image n'est plus dissocié en fonction de sa couleur, mais de sa polarisation. Les filtres des lunettes ne laissent passer que deux longueurs d'ondes distinctes. Une pour chaque œil. Ce principe qui pénalise la résolution ne sera pas retenu pour l'équipement individuel. L'avantage est qu'il est facile à mettre en œuvre dans les salles de cinéma et bon marché, les lunettes ne coutant que quelques euros. Par contre, les salles étant équipées par plusieurs fabricants différents (Dolby et Real 3D), les lunettes ne sont pas forcement utilisables partout.

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La dernière solution dite "alternée" se partage le marché des salles de cinéma avec le système à lunettes passives. Contrairement à son concurrent, elle utilise des lunettes actives, c'est à dire que les images droite et gauche ne sont plus projetées simultanément mais successivement et sur 1080 lignes. La fréquence d'affichage est deux fois plus importante qu'habituellement. Les verres des lunettes sont munis de cristaux liquides qui s'ouvrent et se ferment en alternance avec la fréquence d'affichage des images à l'écran. La synchronisation se fait à l'aide d'un émetteur infrarouge placé sur l'écran de projection ou sur la télévision. La qualité de l'image en HD est irréprochable et le rendu 3D saisissant. C'est cette solution qui est retenue aujourd'hui par les fabricants d'électronique pour les écrans 3D, notamment par le gain qu'elle apporte en résolution d'image.

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A noter que les écrans 3D sont compatibles avec les sources 2D, l'inverse n'est pas possible. Concernant les supports, seul le Blu Ray est en mesure de diffuser de la 3D. Hormis la PS3 compatible 3D depuis 2010, on trouve aujourd'hui des lecteurs Blu Ray 3D à moins de 100 euros

5 février 2012

Les écrans LCD LED

Les écrans LED sont en fait des écrans LCD, la différence avec ces derniers est la technologie du rétro-éclairage utilisée. Sur les LCD classiques (CCFL), il s'agit de tube néon, très fins qui tapissent la totalité de l'arrière de la dalle. Cette technologie est déjà relativement économique. Le principal défaut est que les néons sont allumés en permanence ce qui génère de la lumière résiduelle et interdit des noirs profonds et des taux de contraste élevés contrairement au plasma. Sur les écrans LCD LED, le rétro-éclairage est réalisé par une multitude de LED. L'avantage est qu'elles sont plus lumineuses, plus compact pour une consommation inférieure.

Sur le principe de la LED, il existe 4 types d'écrans différents :

LCD_LED_RVBLes LCD LED RVB : Le rétro-éclairage est réalisé par plus de 1000 modules de diodes RVB (une rouge, une bleu et deux vertes par module), réparties sur toute la surface de la dalle. Le contraste dynamique est élevé avec des noirs de qualité, la luminosité est homogène et le réalisme calorimétriques proche du naturelle. Ces modèles ne sont pas les plus fin, mais offrent une très grande qualité d'image.

Les LCD LED EDGE : Dans ce cas, de 300 à 400 diodes blanches sont disposées en périphérie d'une plaque photo-conductrice placée derrière la dalle LCD. La luminosité est un peu moins homogène qu'un LCD CCFL ou RVB et le contraste, tout en étant meilleur que sur un LCD CCFL, est moins élevé que sur un modèle RVB. Cette disposition autorise des épaisseurs d'écran inférieures à 3 cm et offre les meilleures performances énergétiques.

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full_ledLes LCD FULL LED : Même principe que sur les LCD RVB mais avec ici les diodes sont blanches. C'est ce type de LCD qui affiche le meilleur contraste natif et des noirs de qualité se rapprochant des performances du plasma. La luminosité est importante et homogène. Les épaisseurs d'écran sont comparable au modèle de LCD RVB ou CCFL.

 

local_dimmingLes LCD LOCAL DIMMING : Cette technologie est uniquement combiné à la technologie LED RVB a laquelle on a ajouté des diodes blanches regroupées et gérées par zone (64 zones sur les premiers LCD commercialisés et maintenant 512 sur les LCD Toshiba). On peut la comparer au FULL LED sur le principe mais avec une densité de LED moins importante. Le contraste et la luminosité sont meilleurs que pour un LCD CCFL, la qualité des noirs est amélioré. Le problème de la gestion des LED se manifeste lors des scènes ou l'on retrouve la combinaison d'objet clair et très foncé sur une même zone de LED. Cela provoque un phénomène de halo sur la partie sombre de l'écran, mais ce défaut est aujourd'hui en parti gommé par la multiplication des zones d'éclairages.

Pas de précipitation donc lors du choix d'un écran LED, plusieurs technologies existent qui n'apportent pas forcément un gain significatif par rapport à un LCD CCFL (en voie de disparition) et surtout aux écrans plasma. Les LCD LED sont également plus chères. Ne pas sombrer aux appels des vendeurs qui se limitent (à tort) au LCD CCFL ou LED. Toutes les avancées technologiques des LCD ne visent qu'à combler leurs défauts par rapport au plasma qui reste un choix de tout premier ordre, tel ceux de la gamme Panasonic qui sont des purs merveilles pour un prix raisonnable.

Techniquement, les technologies LED RVB et FULL LED semblent les plus intéressantes même si ce ne sont pas les écrans les plus fin.

A savoir que plus l'écran sera de faible épaisseur plus les performances sonores seront médiocres. Une barre sonore est quasiment indispensable dans ce cas. Critère à intégrer lors de l'achat d'un LCD LED EDGE ou Plasma Slim.

Il faut bien sur ne pas oublier que le rétro-éclairage ne fait pas tout. La qualité de l'image est liée à la dalle LCD et aux différents traitements vidéos propres à chaque constructeur. Attention également aux taux de contraste faramineux annoncé par les constructeurs d'écran LCD LED, qui sont purement commercial. Il est vrai que le contraste dynamique généré par le rétro-éclairage LED est bien supérieur aux LCD classique et est maintenant au niveau des plasmas. Mais il a aussi parfois tendance à dénaturer les images, ce qui conduit souvent les puristes à désactiver ce système d'où un gain en contraste et en consommation moins important.

25 janvier 2012

DeLorean

 

 

 

1981_Delorean_DMC12Des infos sur la DeLorean, devenu célèbre par le film "Retour vers le futur"

La DeLorean DMC 12 a été fabriqué de 1981 à 1982.

9200 exemplaires produits.

6000 à 7000 seraient encore en circulation.

La carrosserie est en acier inoxydable, ce qui n'était pas sans causer de gros problèmes avec les traces de doigts et lors des réparations suite à des petits chocs, C'est pour cette raison qu'aujourd'hui la plupart des modèles en circulation sont peintes.

La voiture a été developpé par Colin Chapman sur un chassis de Lotus Esprit et Dessiné par Giugiaro

Le moteur est le V6 PRV d'origine Renault de 2851 cm3 pour une puissance de 130 cv. Le moteur est couplé à une boite manuelle à 5 rapports ou à une boite automatique ZF à 3 rapports

La vitesse de pointe est de 200 km/h et le 0 à 100 km/h est abattu en 9,5 secondes

Prix entre 15000 et 30000 Euros suivant l'état.

La production a redemarré en 2008 a l'aide de stock de pièce d'origine et en quantitée très limitée. Une version électrique devrait voir le jour en 2013.


10 mai 2010

BPC de classe Mistral

La classe Mistral compte 2 navires : Le Mistral et le Tonnerre. Ce sont des bâtiments de projection et de commandement.

Long de 199 mètres et large de 32 mètres, la classe Mistral déplace 21300 tonnes à pleine charge. Il dispose d'un pont d'envol de 6400 m² avec 6 spots d'atterrissage pour hélicoptère, dont un pour hélicoptère super lourd type Sikorsky CH-53 Super Stallion. Son hangar de 1800 m² permet de stocker jusqu'à 16 hélicoptères opérationnels ainsi que toutes les installations de maintenance et d'avitaillement en kérosène. 2 ascenseurs permettent de monter les aéronefs sur le pont d'envol.

En plus de sa fonction de porte hélicoptère, le Mistral peut embarquer également des capacités amphibies, dont 450 militaires, ainsi que divers véhicules du P4 au char Leclerc. Son hangar de 2650 m² lui permet d'emporter 59 blindés ou 13 chars Leclerc. Ils dispose également d'un radier de 885 m² prévu pour accueillir 4 chalands de transport de matériel ou deux aéroglisseurs LCAC de 95 tonnes en service dans l'US Marine Corps.

En temps que bâtiment de commandement, le BPC dispose de 850 m² de locaux modulable et pré-connectés en réseau à 10 Mbit/s pour conduire des opérations interalliées. Les télécommunications utilisent le premier réseau satellite français sécurisé SYRACUSE 3.

Pour le moment les capacités d'autodéfense du bâtiment sont très limités avec uniquement deux systèmes de défense manuel MISTRAL. Il est prévu d'équiper les BPC de tourelles automatiques télé-opérées de 30 mm.

L'hôpital de bord du Mistral dispose de 2 blocs opératoires, une salle de radiologie avec scanner et 69 lits. Un système de télémédecine permet des opérations de neurochirurgie via SYRACUSE.

La propulsion du Mistral est assurée par des propulseurs électriques en nacelles (pods). Orientables sur 360°, ils rendent le navire très manœuvrable. Ils sont alimentés par 5 moteurs diesel Wärtsilä. La vitesse maximale du navire est de 18 nœuds et il dispose d'une autonomie de 11000 nautiques à la vitesse de 15 nœuds.

L'ergonomie du navire a également été soigné et les normes de confort en vigueur sur les paquebots ont été intégré dés la conception. Les coursives sont larges pour pouvoir laisser se croiser deux soldats et leurs packtages Aucun câble ou tuyau n'est visible dans la partie avant. Tout a été fait pour que les missions en mer de longue durée se passe dans de bonnes conditions pour l'équipage du navire.

Des BPC ont été commandé par la Russie et de nombreuses nations se montrent intéressées par ce concept.

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29 mars 2010

Panneau de Schroeder (Plan)

Voici les plans pour la réalisation de panneau de Schroeder "standard". Efficace au dessus des 1000 Hz (aigus) ce type de panneau difracteur sera tout à fait adapté pour éviter les phénomènes d'échos sur les hautes fréquence et répartir les réverbérations de façon claire et homogène dans la pièce (surtout si vous avez très peu de meuble ou d'étagère dans la pièce : une pièce vide résonne plus qu'une pièce meublée). Les panneaux sont généralement à installer par paire de chaque coté au fond de la pièce, mais il peut être intéressant aussi d'en installer un sur le coté de la pièce. Lorsque celle ci est équipée d'enceinte surround. A savoir qu'une bibliothèque joue un peu le rôle d'un difracteur mais de façon moins efficace.

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L'épaisseur de 20 mm est à titre indicatif, une épaisseur inférieure est tout à fait possible.

14 mars 2010

La Lamborghini Miura

Présenté au salon de Genève en mars 1966, la Miura en rupture avec les canons esthétiques de l'époque étonne. Contrairement à la plupart des voitures sportives de série de l'époque qui disposent d'un moteur placé à l'avant, l'architecture de la Miura fait appel comme en compétition, à un moteur central arrière. Le style novateur qui en découle fait sensation.

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Voiture de haute performance, la Miura est considérée comme la première super-car. Équipée d'un V12 de 3,9 litres développant la puissance impressionnante pour l'époque de 350 CV, la Miura atteint les 280 km/h.

Elle surclasse toutes ses concurrentes de l'époque. Poussée à 385 CV sur la version SV de 1971, la Miura dépasse alors les 290 km/h et abat le 0 à 100 km/h en 5,5 secondes !

Sans compter les versions prototypes, la Miura a été fabriqué à 769 exemplaires de 1966 à 1973.

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20 février 2010

L'USS Thresher

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Le 10 avril 1963, lors de test de plongée a 400 km des côtes des États Unis, le sous marin nucléaire d'attaque USS Thresher est victime d'un incident qui va causer l'arrêt du réacteur nucléaire. Sans propulsion le submersible va malheureusement s'enfoncer jusqu'à l'écrasement de la coque par la pression environnante. Les 129 sous mariniers ont disparu dans la catastrophe. Le sous marin a finalement été retrouvé, mais n'a pas été remonté. On ignore à ce jour, si des éléments radioactifs s'échappent de l'épave. C'est le premier sous marin à propulsion nucléaire à avoir été perdu.

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15 février 2010

Le Rover Lunaire

Le Rover Lunaire a été conçu et fabriqué par Boeing et Delco Electronics afin d'augmenter les zones d'exploration des Astronautes lors des missions Lunaire. La première mission mettant en oeuvre le Rover fut Apollo 15 (26 juillet au 7 aout 1971).

D'allure rustique la conception du Rover a été guidé par les contraintes de poids, ce qui a obligé ses concepteurs à écarter tout équipement superflu tel que le carénage. Le poids de l'engin à vide est de 210 kg sur terre et d'environ 35 kg sur la lune. La charge utile prévue est de 490 kg en comptant les astronautes, les échantillons lunaires et les divers équipements.

Le Rover est équipé de 4 moteurs électriques de 0,25 ch alimenté par deux batteries Zinc-Argent non rechargeables de 36 volts et 121 A/h. Deux autres paires de moteurs de 0,1 ch servent à l'orientation des roues avant et arrière. La vitesse de pointe du Rover est de 12,9 km/h. Le rayon d'action maximum du Rover était de 10 km, cette distance était régulièrement réévaluée à la baisse pendant la mission (proportionnelle à l'autonomie des scaphandres). Le but était que les astronautes puissent retourner au LEM par leur propre moyen en cas de panne. Ce qui n'eut jamais lieu.

Réalisé en tubes d'aluminium, le châssis du Rover mesure 3,1 mètre de long pour 1,8 mètre de large. Afin de pouvoir être logé dans le LEM, le Rover est pliable au niveau des roues avant et arrière. Il est piloté à partir d'un manche à  balai et, est équipé de 2 sièges pliables, de 2 batteries, de ceintures de sécurité ainsi que d'un système de communication et de navigation.

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Les roues de 81 cm de diamètre comportent une jante en titane et des enjoliveurs en aluminium. La bande de roulement est composée d'un treillis métallique en corde à piano revêtu de plaquette en titane en forme de chevron. Chacune des roues pèse 5,4 kg et coutait 85000 dollars pièce à l'époque.

Les suspensions sont composées d'un double triangle superposé et d'un amortisseur hydraulique couplé à deux barres de torsion.


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13 février 2010

Avantages et inconvénients des écrans Plasma et LCD

Le Plasma :

  • La qualité des noirs est bien meilleur que sur le LCD qui lui a un noir grisé "rétro-éclairé"

  • Meilleur contraste.
  • Pas de fourmillement de l'image contrairement au LCD
  • Le spectre de couleur est plus large et plus naturel.
  • L'angle de vision est beaucoup plus important sur le Plasma. Proche des 180°.

  • L'image est plus fluide, il n'y a pas de temps de réponse comparé au LCD ou l'image peut avoir un effet de rémanence lors de scène rapide (Privilégier des écrans LCD 100 Hz ou plus qui supprime ce problème).

La consommation  maximum peut paraitre plus élevée qu'un LCD (50% environ). En fait la consommation d'un Plasma varie beaucoup d'une scène sombre à une scène claire. La raison est que chaque pixel possède son propre rétro-éclairage (un pixel noir est éteint) contrairement au LCD ou toute la dalle est éclairée en permanence. La consommation moyenne peut donc être plus avantageuse au Plasma.

Le LCD :

  • Il est plus lumineux que le Plasma, ce dernier est plus à l'aise dans une pièce sombre que dans une véranda par exemple.

  • Du fait d'une vitre en verre, le Plasma est plus lourd et plus sensible aux reflets du soleil.

Les prix à taille équivalente sont comparable entre les deux technologie. Les Plasmas sont plus sensibles aux marquages de la dalle, mais le phénomène n'est plus irréversible sur les dernières générations et s'estompe au bout de quelques secondes (voir un de mes précédent commentaire pour se préserver de ce problème). Malgré ce que l'on peut entendre encore aujourd'hui de la part de certains vendeurs, un Plasma est aussi fiable qu'un LCD.

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